Entretien et nettoyage des voies.
Publié : 01 sept. 2013, 12:27
Un des points le plus important pour la bonne marche de nos locos, c’est la propreté des voies.
Même sans utilisation, les rails s’altèrent pour diverses raisons (poussières, humidité, etc…), mais aussi lorsque le circuit est régulièrement utilisé, le contact électrique entre les roues et le rail demande un entretien régulier.
Il semblerait qu’en mode digital (courant pulsé) le rail se salit moins.
Mais même si vous pensez que votre circuit est net, passez votre doigt sur le rail, et vous pourrez régulièrement constater deux traces noires.
Il est temps qu’InfraN s’occupe de vos rails.
Pour info, il en est de même dans la réalité sur des tronçons peu utilisés (oxydation oblige).
Mais revenons au N.
Il existe plusieurs méthodes, en commençant par la fameuse « gomme ».
On la trouve chez tous les bons détaillants.
C’est la méthode la plus simple tout en étant très efficace.
Inconvénient, il faut repasser avec un chiffon, car elle nettoie mais ne retire rien.
Autre inconvénient, c’est la présence de caténaires ou de décors qui empêche d’accéder facilement aux rails.
Deuxième système, à peu près similaire, c’est le wagon « Clean » de chez Roco.
Lui il traîne une petite gomme entre les roues.
Cela supprime le problème d’accessibilité, mais pour le faire rouler il faut une loco, et si les rails ne sont pas propres, celle-ci ne roulera pas ou pas bien. Donc le wagon sera poussé.
En plus il faut une loco qui a du punch, car il ne faut pas oublier le frottement. Moi lorsque j’utilise ce procédé, je mets toujours deux locos en double traction. L’une va aider l’autre en cas de passage sur de mauvais contacts.
Par contre ce n’est pas toujours efficace sur les aiguillages, et aussi, si une grosse partie se colle à la gomme, on n’enlève pas vraiment les crasses. Donc il faut quand même repasser avec un chiffon (à nouveau problème d’accessibilité).
Certains imbibent ce chiffon avec de l’essence F (essence à briquet). C’est paraît-il assez efficace.
Pour moi c’est le moyen facile pour un entretien régulier.
Il existe aussi un kit de tampons de la firme Noch (Ref. 6018N), qui l’on fixe sous un wagon. N’ayant jamais utilisé ce système je ne peux vous en parler, mais il semblerait que c’est très léger.
Méthode suivante, c’est la petite loco à patins rotatifs de chez Fleischmann.
Il faut voir ce que ces petits patins enlèvent sur un tour de circuit.
A nouveau, si la voie est vraiment sale, elle va s’arrêter régulièrement. Donc une loco à l’arrière qui va la pousser en cas de problème.
Pour info, même si elle est vraiment petite, nous (mon fils) y avons installé un décodeur pour la faire rouler sur notre circuit digital.
Et pour terminer, ce qui est pour moi le must, c’est le wagon Tomix.
Lui carrément : il ponce, il nettoie et il aspire.
Le wagon est muni d’un moteur. Celui-ci va actionner plusieurs possibilités.
En effet, il y a d’abord pour les voies très sales un kit de patin légèrement abrasif.
Puis après avoir « dérouillé » les rails, on change et on lui met un patin de nettoyage, qui va lustrer la zone de contact du rail. Ici aussi on peut éventuellement l’imbiber d’un produit de nettoyage.
Puis le summum de ce système, l’aspirateur.
Il va aspirer toutes les impuretés qu’il va trouver sur la voie.
La poussière environnante, mais aussi tout ce qui se détache du décor, comme le ballast, l’herbe, des petits morceaux de produit de modélisme que l’on met pour garnir notre maquette, etc….
C’est spectaculaire tout ce qu’il avale !
Ayant un circuit digital, j’ai la possibilité de régler la vitesse de son moteur. En analogique il tournera en fonction de la vitesse de la loco (c’est un peu moins efficace).
Personnellement, je le fait tourner assez fort et le fait pousser à faible vitesse par une puissante G2000 Vossloh.
Pour moi c’est le meilleur système.
Ceci étant dit, des rails bien propres n’assurent pas à eux seuls un bon contact.
La propreté des roues de nos locos et wagons est tout aussi importante, et pas toujours aisée.
Ca je vous en parlerai dans un autre sujet.
Même sans utilisation, les rails s’altèrent pour diverses raisons (poussières, humidité, etc…), mais aussi lorsque le circuit est régulièrement utilisé, le contact électrique entre les roues et le rail demande un entretien régulier.
Il semblerait qu’en mode digital (courant pulsé) le rail se salit moins.
Mais même si vous pensez que votre circuit est net, passez votre doigt sur le rail, et vous pourrez régulièrement constater deux traces noires.
Il est temps qu’InfraN s’occupe de vos rails.
Pour info, il en est de même dans la réalité sur des tronçons peu utilisés (oxydation oblige).
Mais revenons au N.
Il existe plusieurs méthodes, en commençant par la fameuse « gomme ».
On la trouve chez tous les bons détaillants.
C’est la méthode la plus simple tout en étant très efficace.
Inconvénient, il faut repasser avec un chiffon, car elle nettoie mais ne retire rien.
Autre inconvénient, c’est la présence de caténaires ou de décors qui empêche d’accéder facilement aux rails.
Deuxième système, à peu près similaire, c’est le wagon « Clean » de chez Roco.
Lui il traîne une petite gomme entre les roues.
Cela supprime le problème d’accessibilité, mais pour le faire rouler il faut une loco, et si les rails ne sont pas propres, celle-ci ne roulera pas ou pas bien. Donc le wagon sera poussé.
En plus il faut une loco qui a du punch, car il ne faut pas oublier le frottement. Moi lorsque j’utilise ce procédé, je mets toujours deux locos en double traction. L’une va aider l’autre en cas de passage sur de mauvais contacts.
Par contre ce n’est pas toujours efficace sur les aiguillages, et aussi, si une grosse partie se colle à la gomme, on n’enlève pas vraiment les crasses. Donc il faut quand même repasser avec un chiffon (à nouveau problème d’accessibilité).
Certains imbibent ce chiffon avec de l’essence F (essence à briquet). C’est paraît-il assez efficace.
Pour moi c’est le moyen facile pour un entretien régulier.
Il existe aussi un kit de tampons de la firme Noch (Ref. 6018N), qui l’on fixe sous un wagon. N’ayant jamais utilisé ce système je ne peux vous en parler, mais il semblerait que c’est très léger.
Méthode suivante, c’est la petite loco à patins rotatifs de chez Fleischmann.
Il faut voir ce que ces petits patins enlèvent sur un tour de circuit.
A nouveau, si la voie est vraiment sale, elle va s’arrêter régulièrement. Donc une loco à l’arrière qui va la pousser en cas de problème.
Pour info, même si elle est vraiment petite, nous (mon fils) y avons installé un décodeur pour la faire rouler sur notre circuit digital.
Et pour terminer, ce qui est pour moi le must, c’est le wagon Tomix.
Lui carrément : il ponce, il nettoie et il aspire.
Le wagon est muni d’un moteur. Celui-ci va actionner plusieurs possibilités.
En effet, il y a d’abord pour les voies très sales un kit de patin légèrement abrasif.
Puis après avoir « dérouillé » les rails, on change et on lui met un patin de nettoyage, qui va lustrer la zone de contact du rail. Ici aussi on peut éventuellement l’imbiber d’un produit de nettoyage.
Puis le summum de ce système, l’aspirateur.
Il va aspirer toutes les impuretés qu’il va trouver sur la voie.
La poussière environnante, mais aussi tout ce qui se détache du décor, comme le ballast, l’herbe, des petits morceaux de produit de modélisme que l’on met pour garnir notre maquette, etc….
C’est spectaculaire tout ce qu’il avale !
Ayant un circuit digital, j’ai la possibilité de régler la vitesse de son moteur. En analogique il tournera en fonction de la vitesse de la loco (c’est un peu moins efficace).
Personnellement, je le fait tourner assez fort et le fait pousser à faible vitesse par une puissante G2000 Vossloh.
Pour moi c’est le meilleur système.
Ceci étant dit, des rails bien propres n’assurent pas à eux seuls un bon contact.
La propreté des roues de nos locos et wagons est tout aussi importante, et pas toujours aisée.
Ca je vous en parlerai dans un autre sujet.