Quant à moi j'ai acquis le virus par un oncle qui avait dans les années 50 construit un réseau HO de toutes pièces; les rails étaient tirés à partir de boites à conserve, il avait également construit une série de jolies locos belges pour lesquelles il achetait uniquement les roues et les moteurs, la chignole et la lime étant ses principaux outils.
Dans mon jeune temps j'avais un réseau Marklin sur une planche installée sur des tréteaux.
Une fois salarié je me suis remis au N dans les années 70 et puis j'ai connu le RMM où Jacques et les autres m' ont tout appris et puisque mon oncle avait bien su construire ses locos il n'y avait pas de raison de ne pas essayer moi aussi.
J'ai donc à l' époque prévu une pièce sans fenêtre dans les plans de ma future construction, ce sera mon "Club de Train"
Après avoir transformé tout ce que je savais trouver en matériel allemand qui a été repris en Belgique après les deux guerres, je me suis mis à recréer les locos vapeur principalement de construction belge en reprenant les châssis moteur correspondant sur des locos achetées d'occasion, je dois être dans les 40 locos aujourd'hui.
Dès que j'ai dû porter des lunettes pour déchiffrer un texte ma motivation a disparu et je n'ai plus rien fait dans le domaine durant 15 ans, période où je me suis consacré à ma nouvelle maîtresse dont je vous joins la photo .
Il m'a fallu quelques années à retourner le monde du net pour lui retrouver toutes les pièces originales qui lui avaient été retirées au cours des années afin de lui rendre sa première jeunesse.
C'est lors de l'exposition d' Anvers que nous avons été remotivés, nous nous sommes remis à la tâche en reconstituant une grosse partie du groupe qui fut à l'origine du réseau Vonêche.
Maintenant c'est dit nous allons bientôt franchir le viaduc de Tanville.
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