évolution de la technique
Publié : 15 sept. 2019, 11:13
Evolution de la fabrication additive du dépôt de filament (FDM - Fused Deposition Modeling ) à la stéréolithographie (SLA).
Une expo a lieu chaque année dans la Halle Aux Draps de Tournai. Elle se nomme Tournai Toys. Durant plusieurs années, le club y a été présent. En face de nous, un amateur avait décidé de présenter- pour le plaisir- une technique débutante : l’impression 3D (FDM). Source : https://www.makershop.fr/blog
Je lui avais proposé d’imprimer mon signal 5feux que nous sous-traitions à l’époque à Shapeways.
Il a voulu relever le défi, tout en expliquant que sa machine, de construction personnelle, ne pourrait pas concurrencer une production professionnelle.
Effectivement, le résultat que j’ai conservé est assez éloquent. En cherchant bien, on peut y déceler ce qui ressemble à un mat noyé dans des supports de soutient.
Quelques années plus tard, nos imprimantes grand public permettent d’obtenir ceci. La largeur de la buse détermine la largeur du fil fondu déposé. Logique. Une majorité des utilisateurs impriment avec une buse de 0,40mm. Nous utilisons du 0,20mm. On a bien essayé du 0,15 et du 0,10, mais sans résultat probant. Ok, pour y arriver, il nous a fallu retravailler le modèle, tester nombre de filaments, ajuster le paramètres d’impression au plus fin. Nous imprimons avec des hauteurs de couches de 0.08 à 0,05mm ( et donc avec une largeur de 0,20mm)
Il n’empêche, l’accélération est impressionnante.
L’impression par addition de matière fondue (FDM) que nous utilisons sera d’ailleurs bientôt supplantée par la technique de solidification par la lumière laser (SLA), pour l’instant un peu au stade de l’échantillon repris en début, avec un post traitement pas piqué des hannetons. Source : https://www.makershop.fr/blog
Dans le cas de la technologie SLA, la résolution des modèles est déterminée par le point optique du laser ou du projecteur. En plus, lors de l’impression, aucune force n’est exercée puisqu’elle utilise la photopolymérisation ce qui donne alors des surfaces bien plus lisses et une épaisseur de couche comprise entre 0,05 et 0,01 mm et cela dans tous les axes. C’est là que se situe l’énorme amélioration.
C’est fou, non ?
Une expo a lieu chaque année dans la Halle Aux Draps de Tournai. Elle se nomme Tournai Toys. Durant plusieurs années, le club y a été présent. En face de nous, un amateur avait décidé de présenter- pour le plaisir- une technique débutante : l’impression 3D (FDM). Source : https://www.makershop.fr/blog
Je lui avais proposé d’imprimer mon signal 5feux que nous sous-traitions à l’époque à Shapeways.
Il a voulu relever le défi, tout en expliquant que sa machine, de construction personnelle, ne pourrait pas concurrencer une production professionnelle.
Effectivement, le résultat que j’ai conservé est assez éloquent. En cherchant bien, on peut y déceler ce qui ressemble à un mat noyé dans des supports de soutient.
Quelques années plus tard, nos imprimantes grand public permettent d’obtenir ceci. La largeur de la buse détermine la largeur du fil fondu déposé. Logique. Une majorité des utilisateurs impriment avec une buse de 0,40mm. Nous utilisons du 0,20mm. On a bien essayé du 0,15 et du 0,10, mais sans résultat probant. Ok, pour y arriver, il nous a fallu retravailler le modèle, tester nombre de filaments, ajuster le paramètres d’impression au plus fin. Nous imprimons avec des hauteurs de couches de 0.08 à 0,05mm ( et donc avec une largeur de 0,20mm)
Il n’empêche, l’accélération est impressionnante.
L’impression par addition de matière fondue (FDM) que nous utilisons sera d’ailleurs bientôt supplantée par la technique de solidification par la lumière laser (SLA), pour l’instant un peu au stade de l’échantillon repris en début, avec un post traitement pas piqué des hannetons. Source : https://www.makershop.fr/blog
Dans le cas de la technologie SLA, la résolution des modèles est déterminée par le point optique du laser ou du projecteur. En plus, lors de l’impression, aucune force n’est exercée puisqu’elle utilise la photopolymérisation ce qui donne alors des surfaces bien plus lisses et une épaisseur de couche comprise entre 0,05 et 0,01 mm et cela dans tous les axes. C’est là que se situe l’énorme amélioration.
C’est fou, non ?