Et maintenant on va chipoter avec plaisir...
On y est...
Le bâtiment de l'aciérie était plus long que ce que ce qui est possible sur un module de 83/40, mais la quarantaine de centimètres que je peux décemment me permettre afin de représenter tout ce dont on a parlé, c'est le minimum qui va commander...
Une fois ceci admis et tracé, il m'a fallu démonter un peu les accessoires qu'on connait un peu maintenant afin de m'attaquer au pavage entre les voies qui traversent l'aciérie
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améliorer la jonction de l'encastrement du bloc-outils (convertisseurs et four)
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Coller une couche carton pour égaliser la hauteur des traverses des rails sur la surface de l'aciérie et passer au collage de coupons de pavage
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on commence à mieux cerner la surface du bâtiment qui représentera l'aciérie
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et maintenant, avec les voies noyées dans le revêtement du sol les mouvements autres que ceux des wagons pourront s'effectuer sans être empêchés par la présence des rails
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Pour résumer, je construis à l'envers : je pave avant de construire les cloisons et je finirai par le toit...
J'ai déjà signalé que le bâtiment de l'aciérie aurait son "mur" tourné vers le spectateur, côté Viroin, ouvert à claire-voie afin d'un peu montrer ce qu'il y a dedans : aciérie Thomas pour nos minerais de Lorraine et four Martin (pour peaufiner les qualités d'acier et utiliser la ferraille), et avec la fosse de coulée en lingots pour alimenter les laminoirs.
Les piliers qui soutiendront la poutre qui porte le chemin du (des) pont(s) sont déjà fabriqués, ils sont positionnés et collés entre deux cornières.
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Mais solitaires ils donnent un aspect un peu chétif à quelque chose qui doit être costaud. Industrie lourde qu'on dit hein
?
Alors, je me suis penché sur les techniques employées afin de consolider une charpente poutrelles.
J'essaie d'introduire un peu de didactique dans ce compte rendu et je vais continuer pour ce chapitre.
J'ai trouvé quelques renseignements à cette adresse :
https://metaletech.com/wp-content/uploa ... le-RdC.pdf
Jugeant que les palées en croix de Saint-André occulteraient trop la vue vers l'intérieur, j'ai choisi les palées de stabilité en V inversé.
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un petit détail est à noter sur cette photo, l'interposition de petits coupons de papier cuisson sous les collages (lorsque c'est possible) car ce papier est siliconé et évite des collages intempestifs. Il m'a fallu des années pour découvrir ça...
Ce qui forme le fond de la halle d'aciérie est déjà largement connu, deux cornues Thomas et la façade d'un four Martin.
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Cette partie déjà construite depuis un bon bout de temps commande la hauteur minimum que devra avoir le chemin de roulement du pont : 90,5 mm au dessus du pavage soit 94,5 mm au dessus du plan de module
Pour mettre à la même hauteur les chemins de roulement du pont il faudra remonter la cloison de poutrelles de 7,22 mm ce qui se fera par en bas en intercalant une languette de cette épaisseur de 7,3 mm et de largeur d'un peu plus que 5 mm
et il faut essayer d'avoir le pont à peu près de niveau
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pour arriver à un intérieur à peu près correct
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une languette en cornière collée sur le chant supérieur donnera l'augmentation de la largeur vers l'extérieur qui permettra de placer le pont.
la garniture de cette partie de la façade pourra être vitrée pour une part ou dans tout sa longueur...
Mais ne mettons pas la charrue avant les bœufs, tout ça c'est du boulot pour plus tard...