Un saule pleureur.
Publié : 24 oct. 2014, 10:41
Au CFTY (merci André) j’avais appris à faire des sapins.
Mais pour agrémenter le bord de mon étang, il me fallait un saule pleureur.
J’en ai un très beau dans mon jardin et il m’a servi de modèle.
Je suis parti sur une méthode connue, c’est-à-dire avec du fil électrique.
J’ai dénudé une bonne longueur de fil de 2,5 de section.
Pour faire le tronc, j’ai passé de la soudure sur environ 4 cm.
J’ai ensuite ouvert tous les brins et j’ai ressoudé juste au-dessus du tronc une deuxième section afin de pouvoir augmenter le nombre de branches.
Ensuite j’ai donné la forme de parasol particulière au saule.
Avec de la soudure par-ci par-là, j’ai créé des branches afin de rigidifier l’ensemble.
J’ai découpé aux ciseaux le bas de la corolle de l’arbre.
Vient ensuite une couche de peinture brune posée à l’aérographe.
A l’aide d’une bonbonne aérosol de colle j’ai vaporisé les branches, et j’ai saupoudré un flocage très fin de couleur beige clair.
J’ai soufflé l’excédent de flocage et passé un fin voile de vert clair (toujours à l’aérographe, basse pression).
Lorsque j’ai estimé avoir un bon résultat, j’ai verni (encore l’aérographe) le tout en mat.
Et voilà le résultat, le saule qui va bientôt se mirer dans mon étang.
Mais pour agrémenter le bord de mon étang, il me fallait un saule pleureur.
J’en ai un très beau dans mon jardin et il m’a servi de modèle.
Je suis parti sur une méthode connue, c’est-à-dire avec du fil électrique.
J’ai dénudé une bonne longueur de fil de 2,5 de section.
Pour faire le tronc, j’ai passé de la soudure sur environ 4 cm.
J’ai ensuite ouvert tous les brins et j’ai ressoudé juste au-dessus du tronc une deuxième section afin de pouvoir augmenter le nombre de branches.
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Avec de la soudure par-ci par-là, j’ai créé des branches afin de rigidifier l’ensemble.
J’ai découpé aux ciseaux le bas de la corolle de l’arbre.
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J’ai soufflé l’excédent de flocage et passé un fin voile de vert clair (toujours à l’aérographe, basse pression).
Lorsque j’ai estimé avoir un bon résultat, j’ai verni (encore l’aérographe) le tout en mat.
Et voilà le résultat, le saule qui va bientôt se mirer dans mon étang.
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